la France apaisée - VS - La France à baiser
On
observe et ressent l’inexorable déclin de ce « monde d’hier »
à travers mille détails et métaphores subtiles :
ici,
la luxuriance presque écœurante d’un jardin saturé de senteurs,
ou la décrépitude vaguement morbide d’un vaste palais baroque ;
là,
l’image d’une campagne sicilienne inerte, accablée de soleil ;
plus
loin, les échos d’une conversation pleine de sous-entendus qui
disent entre les lignes le renversement « il faut que tout
change afin que rien ne change »
giuseppe-tomasi-di-lampedusa-le-guepard
" Tous les jours à tout point de vue j'épouse la chance et elle ne me quitte plus. Elle me comble de tous ses bienfaits à chaque instant du temps et à chaque point de l'espace et tous les jours à tout point de vue, tout est parfait dans ma vie et je vais de mieux en mieux "
Chaque jour qui passe est un jour de moins à vivre. La raison s'étiole petit à petit et je me sens envahi de plus en plus par des préjugés et/ou des pathos métaphysiques quasiment incontrôlables qui muteront sans doute en dégénérescence sénile . Maturum stercus semper importabile pondus est.
La plus petite unité de mesure de poids, c'est le milligramme, la plus petite unite de mesure de volume, c'est le millilitre, la plus petite unite de mesure de l'intelligence, c'est... le militaire!
Références de Georges Clemenceau
Références de Georges Clemenceau
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<< Le mystère de l'existence humaine ne réside pas seulement dans le fait de rester en vie mais de trouver une raison de vivre. Fyodor Dostoevsky >>
pourquoi on n'a jamais conscience du bonheur au moment où on le vit
et il nous manque prodigieusement quand il nous échappe ?
Citation du Jour
Nous sommes à la veille d'une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin est la bonne crise majeure, et les nations vont accepter le Nouvel Ordre Mondial.
- David Rockefeller
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le 8 mars : journée de la femme, de l'affame ou de l'infâme ?
Réduire le réel à "Je suis Charlie" – ou à "Je ne suis pas Charlie" – est dramatique. On aboutit à des hystéries collectives.
Dans "Nous sommes la France" (Plon), vous interrogez ce que vous appelez le "slogan publicitaire “Je suis Charlie”".– Nous vivons dans le règne de l’émotion. Sous le coup de l’émotion, un homme a créé ce hashtag "Je suis Charlie". Réduire le réel à "Je suis Charlie" – ou à "Je ne suis pas Charlie" – est dramatique. On aboutit à des hystéries collectives parce qu’un gamin de CE2 clame quelques jours après les attentats qu’il n’est pas Charlie ! Le réel ne peut se résumer à "Je suis" ou à "Je ne suis pas", ni à "J’aime" ou à "Je n’aime pas". Or tout sujet se résume aujourd’hui à cette question d’adhésion façon Facebook. Ça me paraît dangereux.
"La plus sobre et la plus géniale définition" de la télévision, écrivez-vous, reste celle de Patrick Le Lay, ex- PDG de TF1 : "Ce que nous vendons à Coca-Cola, c’est du temps de cerveau humain disponible".
– C’est monstrueux mais dramatiquement vrai. Nous vivons dans une société consumériste. L’abrutissement est généralisé et la publicité nous dicte désormais notre façon de vivre. Cette régression est désespérante. Quand elle est accouplée à la publicité, la télé est une arme de destruction massive. Au fil du temps, cette merveilleuse invention est devenue un outil mercantile. Imaginez qu’en 1961, l’ORTF programmait "les Perses", d’Eschyle, en prime time ! Les gens, autour de la machine à café, parlaient d’Eschyle ! Certes, il n’y avait qu’une seule chaîne, mais tout de même...
Regardez-vous la télévision ?
– Jamais !
Propos recueillis par Alexandre Le Drollec
Une âme en peine
De nombreuses personnes, parfois sous de faux airs gentils, sont capables de pourrir la vie des autres au point de leur saper le moral, de les empêcher d’avancer, de les empêcher de dormir, voire même de leur détruire la santé.Il est important de savoir reconnaître ces personnes toxiques qui nous entourent car les relations toxiques sont rapidement pernicieuses, destructrices et empêchent toute construction personnelle.
Elles conduisent souvent la victime à l’échec car elles abaissent l’estime de soi à tel point que certaines personnes s’enlisent elles-mêmes dans une névrose d’échec et finissent par rater tout ce qu’elles entreprennent.
Les relations toxiques rendent certaines personnes indécises et incapables de trancher sur quoi que ce soit, complètement perdues, toujours enclines à la procrastination.
L’individu aux prises avec une relation toxique ne trouve plus de sens à la vie, il se sent dans une impasse car ses choix ne lui conviennent pas.
Et le pire de tout, c’est que les relations toxiques sont « envahissantes ». Elles occupent le terrain de l’existence de la personne touchée, tant physiquement que psychiquement, l’obsédant jour et nuit, jusqu’à en perdre parfois le sommeil.
La personne engluée dans une relation toxique vit souvent son quotidien en mode « peine ».
Il est donc important de savoir si une relation est toxique pour vous. Pour cela faites le test suivant.
11 critères infaillibles pour reconnaître qu’une relation est toxique pour soi
Voici un test qui vous permettra de savoir si une relation est toxique pour vous. Il suffit de répondre par vrai ou faux à chaque question :- Dans cette relation, vous ressentez un malaise physique et psychique en présence de l'autre ;
- Vous ne vous sentez pas libre de vous exprimer comme vous le souhaitez au moment où vous le souhaitez. Vous avez l'impression de marcher sur des œufs ;
- Cette personne vous fait perdre votre confiance en vous. En sa présence vous perdez vos moyens ;
- Dans cette relation vous avez tendance à l'auto-dévalorisation ;
- Vous ressentez que vous vivez une relation dominant dominé ;
- Vous vous sentez incompris ;
- Cette relation est énergétivore ;
- Cette relation vous agite et renforce votre saboteur ;
- L'autre vous éloigne de vos objectifs plutôt que de vous aider à vous en rapprocher ;
- Cette relation vous entraîne dans des comportements immatures ;
- Cette relation vous isole, vous incite au repli sur vous-même ou sur cette relation uniquement plutôt qu'elle ne vous ouvre sur l'extérieur.
Savoir réagir face à différentes personnes toxiques
La personne toxique se cache partout et vous devrez savoir lui faire face pour chaque situation :Les patrons, on en a tous connus !
Vous pourrez avoir affaire à un manager harceleur qui pratique la politique du stress et de la terreur. Dans ce cas, n’oubliez jamais de rehausser votre estime de vous et d’accroître votre confiance en vous loin de lui. Et surtout, ne restez pas seul : plutôt que de vous isoler et de vous replier sur vous-même, passez du temps à partager vos déboires avec d’autres.Attention également au patron manipulateur : c’est le patron qui joue avec ses salariés pour parvenir à ses fins. Volontiers séducteur, il sait aussi se montrer froid et distant, soufflant le chaud et le froid pour que son équipe soit à sa botte. Ce patron n’est pas fiable. Alors soyez vigilant au quotidien et débusquez ses manœuvres manipulatoires. Dites-vous et redites-vous « on ne me la fait pas à moi ! ».
Gare à certains collègues également !
Les personnes toxiques ne se cachent pas uniquement chez les patrons, il peut aussi s’agir des collègues, comme le collègue immature, par exemple, qui se comporte comme un véritable adolescent attardé avec qui vous avez l’impression de retourner dans la cour du collège. Attention, cette personne est toxique car elle vous fait régresser, alors comme pour les enfants, fixez-lui des limites et dites-lui franchement quand il dépasse les bornes.Vous pouvez aussi avoir affaire au collègue paresseux qui tente par tous les moyens de vous déléguer son travail. Face à ce genre de personnage qui vous semble pourtant sympathique, obligez-vous à refuser catégoriquement de faire son travail à sa place.
Mais hélas, parmi nos copains se cachent aussi des personnes toxiques
Et puis, bien sûr, il y a les « copains », qui même si vous les appréciez vraiment, peuvent se révéler des personnes toxiques.On parle notamment du copain critiqueur, qui est une véritable langue de vipère. Rien ni personne ne trouve grâce à ses yeux. Sa négativité est toxique. Volontiers cynique, c’est un pessimiste né. Vous devez absolument lui montrer le plus souvent possible le verre à moitié plein et lui faire partager votre optimisme.
Il y a aussi le copain qui se plaint tout le temps, une éternelle victime avec qui vous sortez vos mouchoirs systématiquement : un véritable Caliméro, quoi ! Faites-lui sentir clairement qu’il joue à la victime et que vous n’êtes pas disposé à jouer au sauveur à chaque fois que vous le voyez.
Sans parler du copain frimeur qui essaie de vous en mettre plein la vue tout le temps. Au début ça vous faisait rire, mais à la longue, c’est toxique. Vous devez lui dégonfler le citron d’une façon ou d’une autre en plaisantant de son comportement, en lui disant qu’il a vraiment le melon…
Tous ces cas ne sont que des exemples, mais, bien entendu, bien d’autres personnes peuvent s’avérer toxiques dans votre entourage et il est franchement très important de les éloigner de votre vie ou, en tous cas, d’apprendre à les gérer.
Pour réussir au mieux dans cette démarche, n’hésitez pas à vous plonger dans le livre de Christophe Médici « Savoir gérer les personnes toxiques » d’où sont issus tous ces conseils.