Dans cette histoire tout est vrai !
Contrairement aux feuilletons et séries de télé-réalité (auto proclamés "réalistes" mais en fait totalement bidons) tant prisés par le public de nos jours, ce récit est une fiction vraie.
Toute ressemblance avec des personnes vivantes ou ayant vécu, approchées et mises en scène par l'auteur, est avérée, et pas du tout fortuite; tout est vérifiable sur le net profond.
La réalité des faits évoqués pourrait aussi être attestée par des victimes et témoins toujours vivants, complices volontaires ou pas, de ces aventures dont l'origine et le moteur sont un cocktail subtil de naïveté, de cupidité et d'ignorance : le mythe de l'Eldorado.
Ce rêve éveillé, délirant pour ceux qui l'ont vécu, est basé sur leur ego, le manque total de lucidité et d'empathie, le non respect d'autrui et le pathologique repli sur soi.
Ce malaise de la civilisation fût développé au siècle dernier par un rejet croissant des idéologies prosélytes affichées comme étant ouvertement collectivistes, voir même communisantes. Il magnifiait le nivellement conformiste de la société par la base. En quelques mots tout le monde pouvait tout faire; tout et n'importe quoi : l'égalité totale : "tout est permis à tous"; tous égaux en est le corrolaire
L'environnement politique de ce fin de XXème siècle était organisé en France sous le règne du fameux/fumeux François Mitterrand, élu Président de la République.
Glorieuse, cette époque où tout était devenu possible. Surtout pour des bobos parvenus qui avaient été frustrés pendant des années de n'avoir pu se gaver, car "politiquement minoritaires, ils avaient juridiquement tort"
Des lois scélérates organisaient et permettaient la curée; notamment en matière économique, dans les tribunaux de commerce (à partir de 1981 le nombre de liquidations d'entreprises, essentiellement des PME, a décuplé)
Si les grandes entreprises transnationales et les banques ont continué sans entrave leur regroupement et leur expansion continue, des entreprises "à taille humaine" généralement plus "locales" devenaient la proie de prédateurs et charognards institutionnels aidés par des comparses d'un type nouveau, délinquants en col blanc, véritables "auxiliaires de l'injustice" sans foi ni loi.
Ainsi sont apparues et ont fait florès la pseudo confrérie des Mandataires Judiciaires à la liquidation des entreprises (institutionnelle et autoproclamée ) et celle de certains individus issus de nulle part qui se définissent désormais comme "repreneurs" ( profession libérale également )
L'ensemble de ces deux entités complémentaires pouvant être qualifié sous le nom générique de prédateurs/charognards de l'économie. L'osmose entre eux se réalisant grâce aux lois sur les défaillances d'entreprises, en complicité avec les banques, les tribunaux de commerce, et les auxiliaires de Justice (avocats, huissiers, etc.)
Depuis 1981, le lendemain de la fête, c'est la gueule de bois.
Pas de souci, il n'y a qu'a traverser la route.....
Yaka Faukon. Ambiance Macron.
Au total aujourd'hui, les riches deviennent de plus en plus riches encore, et les pauvres encore et toujours plus nombreux. L'ordre des choses. Si l'on veut que rien ne change, il faut tout changer. Le flux et reflux, le yin et le yang. (Confert le film "le guépard" de Visconti)
A gauche ! à droite ! en haut ! en bas !
tous ensemble, tous ensemble ! on l'a dans le baba !
Et ça continue. Presque quarante ans après. Les " trente glorieuses..."
Le développement des actes terroristes, les bonnets rouges et les gilets rouges, jaunes.. n'y changeront rien.
Manifestement la Macronie non plus...
Les protagonistes et acteurs principaux de l'affaire (sans qui ce récit n'aurait pas été possible) :
Contrairement aux feuilletons et séries de télé-réalité (auto proclamés "réalistes" mais en fait totalement bidons) tant prisés par le public de nos jours, ce récit est une fiction vraie.
Toute ressemblance avec des personnes vivantes ou ayant vécu, approchées et mises en scène par l'auteur, est avérée, et pas du tout fortuite; tout est vérifiable sur le net profond.
La réalité des faits évoqués pourrait aussi être attestée par des victimes et témoins toujours vivants, complices volontaires ou pas, de ces aventures dont l'origine et le moteur sont un cocktail subtil de naïveté, de cupidité et d'ignorance : le mythe de l'Eldorado.
Ce rêve éveillé, délirant pour ceux qui l'ont vécu, est basé sur leur ego, le manque total de lucidité et d'empathie, le non respect d'autrui et le pathologique repli sur soi.
Ce malaise de la civilisation fût développé au siècle dernier par un rejet croissant des idéologies prosélytes affichées comme étant ouvertement collectivistes, voir même communisantes. Il magnifiait le nivellement conformiste de la société par la base. En quelques mots tout le monde pouvait tout faire; tout et n'importe quoi : l'égalité totale : "tout est permis à tous"; tous égaux en est le corrolaire
L'environnement politique de ce fin de XXème siècle était organisé en France sous le règne du fameux/fumeux François Mitterrand, élu Président de la République.
Glorieuse, cette époque où tout était devenu possible. Surtout pour des bobos parvenus qui avaient été frustrés pendant des années de n'avoir pu se gaver, car "politiquement minoritaires, ils avaient juridiquement tort"
Des lois scélérates organisaient et permettaient la curée; notamment en matière économique, dans les tribunaux de commerce (à partir de 1981 le nombre de liquidations d'entreprises, essentiellement des PME, a décuplé)
Si les grandes entreprises transnationales et les banques ont continué sans entrave leur regroupement et leur expansion continue, des entreprises "à taille humaine" généralement plus "locales" devenaient la proie de prédateurs et charognards institutionnels aidés par des comparses d'un type nouveau, délinquants en col blanc, véritables "auxiliaires de l'injustice" sans foi ni loi.
Ainsi sont apparues et ont fait florès la pseudo confrérie des Mandataires Judiciaires à la liquidation des entreprises (institutionnelle et autoproclamée ) et celle de certains individus issus de nulle part qui se définissent désormais comme "repreneurs" ( profession libérale également )
L'ensemble de ces deux entités complémentaires pouvant être qualifié sous le nom générique de prédateurs/charognards de l'économie. L'osmose entre eux se réalisant grâce aux lois sur les défaillances d'entreprises, en complicité avec les banques, les tribunaux de commerce, et les auxiliaires de Justice (avocats, huissiers, etc.)
Depuis 1981, le lendemain de la fête, c'est la gueule de bois.
Pas de souci, il n'y a qu'a traverser la route.....
Yaka Faukon. Ambiance Macron.
Au total aujourd'hui, les riches deviennent de plus en plus riches encore, et les pauvres encore et toujours plus nombreux. L'ordre des choses. Si l'on veut que rien ne change, il faut tout changer. Le flux et reflux, le yin et le yang. (Confert le film "le guépard" de Visconti)
A gauche ! à droite ! en haut ! en bas !
tous ensemble, tous ensemble ! on l'a dans le baba !
Et ça continue. Presque quarante ans après. Les " trente glorieuses..."
Le développement des actes terroristes, les bonnets rouges et les gilets rouges, jaunes.. n'y changeront rien.
Manifestement la Macronie non plus...
Les protagonistes et acteurs principaux de l'affaire (sans qui ce récit n'aurait pas été possible) :
- Joe Lachaud - escroc fringant qui se prend pour le grand navigateur devant l'Eternel, qu'il aurait sans doute rêvé d'être - hableur sans morale, sans retenue, capable de tout et qui excelle pour prendre du fric dans la poche des autres à n'importe quel prix, jusqu'à la mort.
- Pierre Baron "Le Marin" - Inculte, fourbe, cupide, manipulateur et au niveau primate supérieur intellectuellement
- Claude Malbarré - autoproclamé celui qui mange à tous les rateliers, rabatteur putain et proxénète à la fois
- Pat Ribaux - aventurière courtisane et dangereuse - n'a pas grand chose à offrir à part ses charmes naturels, en déclin chronique avec le temps
- Yvan Lachaud "Petit Mozart" - le digne fils de son père