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Tout homme devrait employer la première partie de sa vie à parler avec les morts; la seconde à converser avec les vivants; la troisième à s'entretenir avec lui-méme.

La culture

« La culture ce n’est pas avoir le cerveau farci de dates, de noms ou de chiffres, c’est la qualité du jugement, l’exigence logique, l’appétit de la preuve, la notion de la complexité des choses et de l’arduité des problèmes. C’est l’habitude du doute, le discernement dans la méfiance, la modestie d’opinion, la patience d’ignorer, la certitude qu’on n’a jamais tout le vrai en partage; c’est avoir l’esprit ferme sans l’avoir rigide, c’est être armé contre le flou et aussi contre la fausse précision, c’est refuser tous les fanatismes et jusqu’à ceux qui s’autorisent de la raison ; c’est suspecter les dogmatismes officiels mais sans profit pour les charlatans, c’est révérer le génie mais sans en faire une idole, c’est toujours préférer ce qui est à ce qu’on préférerait qui fût. » [Jean Rostand.]

L'état d'urgence : il est urgent de penser à y mettre fin (21/8/17)

Lorsque les médias ont annoncé l’assaut contre les locaux de Charlie Hebdo, je n’ai rien ressenti de particulier. Et pour cause: j’étais dans le métro, en route vers mon travail, sans smartphone. Je n’étais pas au courant. Une fois à destination, je me dirige jusqu’à ma salle de cours. Et là, vent de panique: les étudiants, affolés par la nouvelle, m’apprennent ce qu’il en est.
En ouvrant la porte de la classe, j’avais franchi le court interstice qui sépare la routine de l’événement. Il fallait aménager l’ordre du jour, prendre en compte l’émotion du public: c’était l’état d’urgence. Situation impérative, où la représentation qu’on peut se faire du futur est suspendue à l’annonce d’un dénouement plus ou moins proche. Une condition d’incertitude, où les personnes dépositaires de l’autorité jouissent d’une aura inhabituelle. Mes étudiants, déjà plutôt gentils d’habitude, m’ont paru ce jour-là d’une docilité presque effrayante. Comme le rappelait Machiavel, dans Le Prince, Livre X, «quand l’ennemi ravage le territoire et que les sujets réfugiés dans la ville voient leurs biens pillés et perdus, c’est alors qu’ils se dévouent au Prince sans réserve».
L'empire du présent

Ce bref récit de ma classe à l’heure Kouachi visait à rappeler que l’état d’urgence, avant d’être ce complexe rééquilibrage entre exécutif et judiciaire sous lequel nous vivons depuis 2015, est d’abord une soumission contrainte à la force de l’événement. Aujourd’hui, le dispositif d’exception qui organise en France cette contrainte est en vigueur jusqu’au 1er novembre 2017. Il a été reconduit, pour la sixième fois consécutive au début de cet été. Le Premier ministre a annoncé que son gouvernement intégrerait bientôt dans la loi certaines de ses dispositions. Gageons qu’à l’heure des débats parlementaires, les attentats commis à Barcelone et à Cambrils feront sûrement partie des munitions argumentaires. Des voix s’élèvent pourtant déjà, de Catalogne même, pour rappeler que la surveillance de masse est la meilleure amie du terrorisme, car elle disperse les forces dont on aurait besoin pour le traquer. Mais rien à faire: c’est l’état d’urgence, le présent est dangereux, surveillons-le davantage et toujours.
L’état d’urgence, c’est l’empire du présent. Un présent qui défie l’héritage du passé –la Constitution, les libertés fondamentales– et qui dévore le futur, fait de projets et de changements. On le ressent à lire les témoignages des victimes de l’arbitraire administratif, aux vies entravées par une assignation à résidence ou un coup de force policier inexplicable. On le retrouve lorsque s’expriment les colères de militants, d’acteurs associatifs en conflit depuis des années avec les pouvoirs publics, et que l’arsenal juridique nouveau a permis de mettre échec et mat.
C’est un point toujours abordé par les juges et les juristes, plus rarement par les politiques, qui établissent clairement que ce régime d’exception est aussi dangereux qu’inapte à réduire le terrorisme en France. On a beaucoup écrit sur le sujet depuis deux ans: dans ce sombre contexte pour d’autres libertés fondamentales, on profite de la liberté d’expression. Et puis lire, écrire, c’est aussi refuser de céder à cette panique docile de «l’urgence face au terrorisme», cette suspension du raisonnement.
Une riposte un temps nécessaire

Dans la soirée sanglante du 13 novembre 2015, François Hollande a instauré cet état d’urgence sous lequel nous vivons. Il s’agissait d’agir vite, et pour cela, de conférer des pouvoirs discrétionnaires au bras administratif du gouvernement –ministre de l’Intérieur, préfets. Sans autorisation des juges, l’exécutif pouvait donc –et peut encore– restreindre les libertés –fermeture de lieux de rassemblement, assignation à résidence, interdiction de manifester, perquisitions administratives de jour comme de nuit. Seul le juge administratif disposait d’un petit regard sur une procédure: s’il détectait une erreur manifeste, il pouvait y mettre fin.
Après avis du Conseil constitutionnel, ce magistrat a vu ses pouvoirs étendus au contrôle de la proportionnalité des mesures prises. Autrement dit, il pouvait s’opposer à ce que par exemple, une armée de Robocop fasse irruption en pleine nuit chez quelqu’un accusé de takfirisme sur la foi d’une seule lettre anonyme. Et sans doute ne l’a-t-il pas assez souvent fait, comme le rappelait récemment Amnesty International qui dressait un état des lieux des abus liés à ce nouveau cadre juridique.
Comme le rappelle le magistrat et essayiste Denis Salas (1), l’idée d’instaurer un temps donné l’état d’urgence contre la menace terroriste n’avait rien d’absurde «pour démanteler une menace virtuelle, il faut des ripostes souples et efficaces capables de s’adapter à un adversaire indétectable». La riposte a sans doute porté ses fruits dans les semaines qui ont suivi ces attentats. Mais comme le rappelait en janvier 2016 la commission des lois de l’Assemblée, l’effet de surprise s’est estompé depuis. L’ennemi s’est adapté. Et lorsque le camion de Mohamed Lahouaiej Bouhlel fauchait ses victimes à Nice, l’état d’urgence entrait dans son dixième mois d’application.
Une protection à des fins politiques

Mais tant pis, les gouvernements successifs ont renouvelé cet état d’exception. Comme le soulignait le professeur de philosophie Vincent Grégoire (2), «l’appareil législatif, censé inscrire la norme dans la durée, se soumet à l’actualité pour la redéfinir constamment». Cette parenthèse dictatoriale, nécessaire pour résoudre un problème précis dans un temps court, épouse désormais les contours de la «guerre contre le terrorisme», dont on sait qu’elle n’a ni limite spatiale, ni fin temporelle.
Parmi les critiques de cet état d’urgence surprolongé, il y a le classique revers de main cynique: «c’est tout simple: le gouvernement maintient l’état d’urgence parce qu’il aime le pouvoir, et qu’il peut faire ce qu’il veut». Ça ne marche pas, et pour une raison simple: tous les gouvernements, dans toute l’histoire, ont eu en commun ce goût de diriger. Quant à l’équation «terrorisme=état d’urgence», elle ne tient pas. Le gouvernement Chirac, en 1986, a été confronté à une vague sanglante d’attentats terroristes. Celui d’Édouard Balladur dut gérer la prise d'otages du vol d'Air France Alger-Paris, du 24 au 26 décembre 1994. Ni l’un ni l’autre ne firent appel à une juridiction d’exception.
On peut, sans forcément déborder d’admiration pour ces deux personnages et leur héritage politique, concéder qu’ils appartenaient à une génération de gouvernants qui assumait ses choix, les divergences avec ses adversaires et les conséquences qu’elles impliquaient pour le futur. La décision unanime de nos gouvernants de laisser filer l’état d’urgence, voire de l’inclure dans la loi, semble par comparaison relever d’une flagrante absence d’épine dorsale. Ce choix d’instaurer l’urgence consiste moins à nous protéger nous qu’à les protéger eux, en déguisant leurs choix derrière des décisions impératives, dictées par les nécessités du présent.
Trier les urgences

Comme le rappelle la philosophe Nathalie Sarthou-Lajus, gouverner devrait consister à hiérarchiser les urgences d’une société où le sentiment d’urgence, boosté par les télécommunications, ne relève pas toujours du rationnel. Un bon médecin urgentiste, ce n’est pas celui qui déclare tout urgent! C’est celui qui distingue «l’urgence vitale (sauver une vie) de l’urgence ressentie par la victime (apaiser l’angoisse)». Chacun de nos concitoyens mérite d’être protégé dans «ce qu’il est autant que ce qu’il espère»: protéger son intégrité physique présente, mais aussi les libertés fondamentales qui lui permettent d’inventer son futur.
Cette façon inutile de décréter l’état d’urgence révèle le rapport compliqué que nos gouvernants entretiennent au temps de l’autre, ce temps qu’en principe ils ne possèdent pas et dont ils ont la charge. On a vu au printemps dernier un certain nombre de candidats à la magistrature suprême user du mot «système» comme d’un sifflet pour rallier leurs partisans et leur désigner un adversaire. On y retrouve cette crainte du temps de la réflexion, du doute. Comme s’ils n’avaient eux-mêmes plus de distance avec cette urgence qu’ils brandissent.
1 — Salas Denis, «L’état d’urgence : poison ou remède au terrorisme?», Archives de politique criminelle, 2016/1 (n° 38), p. 75-87 Retourner à l'article
2 — Grégoire Vincent, «L’état d’urgence n’est pas l’état normal de l’État de droit», Sens-Dessous, 2017/1 (N° 19), p. 63-74 Retourner à l'article

POUBELLE LA VIE A MARSEILLE : SAUVONS-LA DE MELENCHON ! IL FAUT SAUVER AUSSI LA CAGOLE ET LA KALACH' ET LE SAVON ! IL FAUT SAUVER, ENFIN, BRIGITTE MACRON !


[en préalable, que trouve-t-on sur les moteurs de recherche Googueule, Keyblog..  ?]

[search] cagole
[Tags] cagole
[tags] les cagoles et les cacous de Marseille
[wiktionary] cagole
[qwant] la veritable cagole de Marseille
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[keyblog] cagole
[thedailyfrench] qu'est-ce qu'une cagole ?
[slate] cagole-pas-forcément-une-insulte

Brigitte Macron traitée de "cagole" par un média anglais : c’est quoi cette histoire ?
[gala] brigitte macron traitée de cagole par une journaliste, l'attaque de trop !

[voici] news-people/actu qui-est-andre-louis-auziere-l'ex-mari-de-brigitte-macron
[gala] pourquoi brigitte macron n'a pas été voter avec Emmanuel Macron au Touquet


DROIT DE REGARD (ceci est une émanation personnelle du webmaster de ce blog)

Tout est question de sémantique :

- la "cagole de Marseille" fait partie du patrimoine vivant de Marseille (et du pays tout entier); c'est comme le savon éponyme
On en produit de l'authentique surtout dans la Région marseillaise étendue, en particulier à Salon de Provence; et, comme pour le savon de Marseille, 95 % de la production (mondialisée) est de la contrefaçon (faute d'IGP et/ou de Protection INPI adéquates).

- sur un plan strictement intellectuel, la cagole est poursuivie par les études; mais au grand maximum jusqu'en classe de troisième (soit en l'occurence, vers l'âge de 19/21 ans) mais sans BEPC ni aucun diplôme. 

- sur le plan générationnel, la cagole atteint la limite d'âge, (c'est un peu comme en entreprise, , pour les femmes, entre 33 et 45 ans) Au-delà de cette limite, leur ticket n'est plus valable. La nécessaire reconversion se fait alors naturellement, soit en vieille peau (cf le dicton: dans les vieux pots on fait les meilleures soupes ...) soit en cougar. Assumée.. ou pas. Mais toujours avec des talons de 18 cm.

- sur le plan de la réalité socio structurelle (cf Plus Belle la Vie) la cagole est souvent "épicée" depuis son plus jeune âge (la perte du pucelage se faisait traditionnellement <<le jour de la première communion, avec un garçon de son âge, derrière les fortifications>>. Actuellement, et de préférence, en tournante, dans une cave d'immeuble des cités des quartiers Nord, souvent avec (ou peut-être sans) la bénédiction complice et bienveillante de la Sénatrice (PS) du coin, Samia Ghali)

- sur le plan financier.... les vieux friqués sont la cible quasi_exclusive de la cagole (on baise utile, ou on baise pas) et la compétition est féroce entre les kakous (=les mia) de Marseille et/ou d'ailleurs. Leur terrain de chasse préféré c'est parmi les vieux de plus de 50 ans : le chef d'entreprise, le professionnel libéral, et aussi le "politique professionnel" en vue, le rentier/retraité; bref les plus de 50 ans friqués; et ce, sans limite d'âge. Exception notable - qui confirme la règle - sans doute à cause des compatibilités et affinités "intello-cul-turelles": le footballeur (ex: Ribéry, BenZema, Zahia, Nabila..) Plus c'est vieux et friqué et plus c'est attirant, intéressant et convoité dans l'environnement cagolien (cf les similarités avec les mouches à merde: l'infirmière et le médecin; la secrétaire et le patron; la fonctionnaire et le chef de service....)

A bien des égards Brigitte Macron ne saurait satisfaire à ces critères, ni y être assimilée ! les "journaleux" des torchons média comme Grazia et autres Gala, sont des incultes, des ignorants crasses, et de gros prétentieux truculents qui n'ont rien appris ni rien compris à l'amour

 1/ Pour être une authentique cagole, il faut avant tout être de Marseille (car ça vous pose une cagole, comme être de Garenne, ça vous pose un lapin....)

2/ Ne pas avoir fait d'études au-delà de la troisième et c'est le principal critère discriminant.. (c'est même génétiquement impensable autrement)

3/ Se faire culbuter, et à fortiori se marier, avec quelqu'un de (presque) plus jeune que ses propres enfants, serait aussi irrémédiablement éliminatoire

Portons donc la (vraie) bonne parole, sans langue de bois: malgré l'adversité offensante des Grazia/Gala, usw.. à son égard, Brigitte Macron est ici hors course et, of course, d'emblée éliminée, irrecevable, inassimilable aux critères de classification officielle à l'appellation "cagole de Marseille" ou même de contrefaçon

Donc, en conséquence pour que vive Marseille, et la région, sauvons les emblèmes

Sauvons la Cagole de Marseille !
Sauvons la Kalach' de Marseille !
Sauvons le Savon de Marseille !

Et Sauvons Brigitte Macron (d'Amiens !, pas de Marseille, con !) !

pour conclure, la devise préférée de la (vraie) cagole : Quand on vient du caniveau, monter sur le trottoir, c'est déjà une promotion

[tags] nabilla la nouvelle cagole


Marseille, terre de contraste



Bob Kennedy

 « Quelques semaines avant son assassinat, Bob Kennedy prononçait, à l’Université du Kansas, le discours suivant : « Notre PIB prend en compte, dans ses calculs, la pollution de l’air, la publicité pour le tabac et les courses des ambulances qui ramassent les blessés sur nos routes. Il comptabilise les systèmes de sécurité que nous installons pour protéger nos habitations et le coût des prisons où nous enfermons ceux qui réussissent à les forcer. Il intègre la destruction de nos forêts de séquoias ainsi que leur remplacement par un urbanisme tentaculaire et chaotique. Il comprend la production du napalm, des armes nucléaires et des voitures blindées de la police destinées à réprimer des émeutes dans nos villes. Il comptabilise la fabrication du fusil Whitman et du couteau Speck, ainsi que les programmes de télévision qui glorifient la violence dans le but de vendre les jouets correspondants à nos enfants. 
En revanche, le PIB ne tient pas compte de la santé de nos enfants, de la qualité de leur instruction, ni de la gaieté de leurs jeux. Il ne mesure pas la beauté de notre poésie ou la solidité de nos mariages. Il ne songe pas à évaluer la qualité de nos débats politiques ou l’intégrité de nos représentants. Il ne prend pas en considération notre courage, notre sagesse ou notre culture. Il ne dit rien de notre sens de la compassion ou du dévouement envers notre pays. En un mot, le PIB mesure tout, sauf ce qui fait que la vie vaut la peine d’être vécue ».



la France, une démocratie?

la France, une démocratie?
AMOUR ET TIMOUR ( janvier 2016 en SIBERIE)

Danger !

Danger !

L'echo des montagnes

La démocratie

Raymond Aron
  • « Les sources psychologiques de la démocratie sont celles d’êtres humains encore incapables d’imaginer une société sans pouvoir. Le citoyen démocratique n’a pas dépassé la mentalité d’esclave et il n’a chassé son maître royal que pour faire du peuple un maître collectif. Pour nous, libertariens, au contraire, le refus de tout pouvoir est la voie vers l’émancipation. La seule maîtrise que nous désirons est la maîtrise de soi. C’est pourquoi la société démocratique est celle d’esclaves qui cachent leur besoin de maître, la société libertarienne est celle de maîtres qui ne veulent pas d’esclaves. »

Octave Mirbeau écrivait dans le Figaro, en 1888 : « les moutons vont à l’abattoir. Ils ne disent rien, et ils n’espèrent rien. Mais du moins ils ne votent pas pour le boucher qui les tuera et pour le bourgeois qui le mangera. Plus bête que les bêtes, plus moutonnier que les moutons, l’électeur nomme son boucher et choisit son bourgeois. Il a fait des Révolutions pour conquérir ce droit ».

Un "mur" Facebook est une manière de montrer à tout le monde que tu n'intéresses personne

Quand on vient du caniveau, monter sur le trottoir, c'est déjà une promotion

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Séjour de rêve à Orlando

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Cannabis THC

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projet de légalisation du cannabis en France

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Ex-libris [weblogs] webmaster.

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Mon passe-temps favori, c’est laisser passer le temps, avoir du temps, prendre son temps, perdre son temps, vivre à contretemps. Françoise Sagan

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A quoi sert ce blog ? Un blog est la façon la plus rapide et la plus simple de montrer à tout le monde que tu n' intéresses personne.. A noter que cette définition convient aussi à un compte Twitter ou un mur Facebook ;-)) Envoyer par e-mail BlogThis! Partager sur Twitter Partager sur Facebook Partager sur Pinterest

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